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Le destin a voulu que Géraldine (violon), Jean-Niels (guitare), Marcello (batterie), Nico (basse) et Laure (danse), bien qu’aucun d’eux ne soit originaire des bords de Loire, se rencontrent à Orléans. On dit de Have The Moskovik qu’ils jouent une musique lourde, lancinante, profonde et aérienne, originale dans le paysage musical orléannais ; un post-rock où s’entremêlent boucles de guitare, violon, samples engagés et poétiques.

En 2011, le groupe enregistre six titres, crée son propre label – Gropied Records – et autoproduit un premier album, Une Simple Théorie des Glaces en Terrasse, publié sous licence libre. À cette même période, les quatres moskoviks rencontrent Laure, danseuse, et accueillent avec enthousiasme au sein du groupe cette interprétation mouvementée de ce qu’ils tentent jusqu’alors de dire en musique.

L’année 2013 marquera un tournant avec plusieurs dates en France – et en Italie ! – et l’élaboration de nouveaux morceaux qui feront l’objet d’un second opus avec le label Strandflat : Là où les idées vertes incolores dorment furieusement.

Le destin a voulu que Géraldine (violon), Jean-Niels (guitare), Marcello (batterie), Nico (basse) et Laure (danse), bien qu’aucun d’eux ne soit originaire des bords de Loire, se rencontrent à Orléans. On dit de Have The Moskovik qu’ils jouent une musique lourde, lancinante, profonde et aérienne, originale dans le paysage musical orléannais ; un post-rock où s’entremêlent boucles de guitare, violon, samples engagés et poétiques.

En 2011, le groupe enregistre six titres, crée son propre label – Gropied Records – et autoproduit un premier album, Une Simple Théorie des Glaces en Terrasse, publié sous licence libre. À cette même période, les quatres moskoviks rencontrent Laure, danseuse, et accueillent avec enthousiasme au sein du groupe cette interprétation mouvementée de ce qu’ils tentent jusqu’alors de dire en musique.

L’année 2013 marquera un tournant avec plusieurs dates en France – et en Italie ! – et l’élaboration de nouveaux morceaux qui feront l’objet d’un second opus avec le label Strandflat : Là où les idées vertes incolores dorment furieusement.

Le destin a voulu que Géraldine (violon), Jean-Niels (guitare), Marcello (batterie), Nico (basse) et Laure (danse), bien qu’aucun d’eux ne soit originaire des bords de Loire, se rencontrent à Orléans. On dit de Have The Moskovik qu’ils jouent une musique lourde, lancinante, profonde et aérienne, originale dans le paysage musical orléannais ; un post-rock où s’entremêlent boucles de guitare, violon, samples engagés et poétiques.

En 2011, le groupe enregistre six titres, crée son propre label – Gropied Records – et autoproduit un premier album, Une Simple Théorie des Glaces en Terrasse, publié sous licence libre. À cette même période, les quatres moskoviks rencontrent Laure, danseuse, et accueillent avec enthousiasme au sein du groupe cette interprétation mouvementée de ce qu’ils tentent jusqu’alors de dire en musique.

L’année 2013 marquera un tournant avec plusieurs dates en France – et en Italie ! – et l’élaboration de nouveaux morceaux qui feront l’objet d’un second opus avec le label Strandflat : Là où les idées vertes incolores dorment furieusement.